Al Capote
de San-Antonio

critiqué par Pierrot, le 14 mai 2015
(Villeurbanne - 73 ans)


La note:  étoiles
Cent calambours et galipettes
Je ne sais pas si notre Berjallien, était un joyeux drille et d’ailleurs peu m’importe, mais par contre avec un titre pareil on se doute bien, qu’ici il ne va pas déblatérer, sur les des têtes de nœuds assis sur science Po.
Non là, il ne prend aucune protection pour nous causer de la « Chose » D’abord sur les frasques sexuelles de Béru puis sur celles de San Antonio qui comme chacun sait ne crache pas dessus.
Difficile pour un bon vivant lisant cet ouvrage et en dégustant une mort subite de ne pas se fendre la pipe ! Ou de ne pas penser au célèbre livre « La chatte sur un doigt brulant »
Faut dire aussi qu’ l’entrée en matière n’est pas mal non plus, avec cette visite de San Antonio à Mr Constaman sur son lit de mort. Sans compter l’enquête… Mais ça c’est une autre histoire.