critiqué par Pierrot, le 8 mai 2015 (Villeurbanne - 73 ans)
La note:
Je t’espionne, tu m’espionnes, il m’espionne…
Le titre de ce roman savamment relevé à la sauce anglaise, pourrait donner à penser que le lecteur serait amené à tourner un rond, comme l’espèce de nécrophage bien connu . il n’en est rien au contraire puisque qu’on passe d’un pays colonisateur vautour-vampirisé aux entrailles d’or et de diamant d’un pays colonisé. J’ai donc dévoré ce bon roman, où si certains personnages ici se font plumer, le lecteur que je suis n’a aucunement eut l’impression de s’être fait baguer…