Les hommes cruels ne courent pas les rues
de Katherine Pancol

critiqué par Stradivarius, le 17 mars 2015
( - 82 ans)


La note:  étoiles
mon père ce héros
Quand son père meurt , K.P s'enfuit à New York où le chagrin est plus facile à gérer. A New York tout va très vite, on y vit à cent à l'heure, ainsi défilent tous les quartiers de la ville elle mange au restaurant, assiste à un vernissage , rencontre des amis , loge ici et ailleurs . Mais la blessure persiste car il est difficile de nouer une liaison normale avec un homme quand ce père a pris toute la place dans sa vie et surtout par son absence, petite elle le méprisait quand il oubliait son dimanche de garde . L'auteur se penche finalement sur la relation père fille, qui passe de l'amour fou à la crainte d'être abandonnée. Ce père qui considérait qu'aucun homme n'était digne de sa fille . Ainsi la vie amoureuse de K.P se révèle bien complexe . Ce roman n'est pas le meilleur de K.P, l'écriture est rapide avec des phrases courtes elle nous entraîne dans un tourbillon de sentiments et on se demande si elle va pouvoir régler son problème avec les hommes, roman déroutant qui reste sur le registre de la psychologie sauvé par l'humour époustouflant de Katherine Pancol...
bien du Pancol 6 étoiles

Un petit roman charmant.
J'avoue avoir eu du mal à m'accrocher au début. parfois les propos étaient un peu trop ambigus, mais au final j'en suis arrivée au bout et je regrette pas, mais je ne le conseillerais pas comme je conseillerais quelques uns de ses autres livres.
cela dit pour un dimanche pluvieux - rien de mieux.

Bleudiff - - 34 ans - 22 septembre 2015