En long, en large et en travers
de San-Antonio

critiqué par Pierrot, le 7 octobre 2014
(Villeurbanne - 72 ans)


La note:  étoiles
En long, en large et en travers.
Si San Antonio use bien d’un leitmotiv, c’est bien d’invectiver ses lecteurs. Moi-même je devrais en être choqué, penser même d’être un peu maso. Et bien non pas du tout, car ce brave agent secret bien sous tout rapport descendant probablement du Bonobo (c’est tout son portrait craché du côté de sa libido). Ce Lucky Luke de la braguette, honore la femme durant toute une mission bien plus que ne pourrait le faire un putois de gradé militaire durant toute sa carrière.
Donc notre San Antonio dis-je par ses invectives, m’invite tout simplement à gamberger avec lui et à résoudre les énigmes posées dans ses enquêtes. Une façon originale d’émoustiller ma matière grise.
Et dans cette enquête menée en long en large et en travers il est vrai qu’il faut être pour le moins éveillé et non pas endormi comme l’ont été (c’est plutôt sein comme conjugaison). Béru et Pinaud.