La transcendante
de Patricia Reznikov

critiqué par Monocle, le 7 avril 2014
(tournai - 64 ans)


La note:  étoiles
Pas vraiment conquis
La narratrice, Pauline, a tout perdu dans l'incendie de son appartement parisien. Seul un livre a échappé au massacre des flammes. Cette oeuvre c'est "Les lettres écarlates de Nathaniel Hawthorne".
Obnubilée par ce bouquin rescapé, elle y voit un signe et décide donc d'aller soigner ses blessures de l'âme sur les traces de ce fameux Nathaniel Hawthorne, là-bas, de l'autre côté de l'Atlantique.
Première étape : Boston sous la canicule. Elle y rencontrera des gens excentriques mais aussi l'histoire de cette lettre écarlate.

Juste une petite explication concernant le transcendantalisme. Les transcendantalistes étaient un groupe d'écrivains et de penseurs de Nouvelle-Angleterre au milieu du XIXème siècle. Les pères de la littérature américaine. Les français avaient leurs romantiques, Musset, Lamartine, Hugo, Chateaubriand. Les américains avaient Thoreau, Emerson, Melville et Hawthorne.
(citation de l'auteur)

C'est mon premier Patricia Reznikov, trouvé par hasard. Je n'ai pas vraiment été conquis ni par le style, ni par le parcours de Pauline. Par contre ça m'a donné la furieuse envie de lire la lettre écarlate.