Ric Hochet, tome 71 : La dernière impératrice
de André-Paul Duchâteau (Scénario), Frank Brichau (Dessin), Tibet (Dessin)

critiqué par Antihuman, le 30 janvier 2014
(Paris - 41 ans)


La note:  étoiles
La der des ders
Brr... Spécialement très froid cet opus du fougueux journaliste de La Rafale: 2 femmes disparaissent tout à coup dans la nature et personne ne moufte!! On dirait bien que les auteurs se sont éveillés du "success-syndrome" (aux ignorants, qu'ils sachent que Ric Hochet est très populaire et pas qu'en France) qu'ils subissaient et souhaitaient enfin nous faire comprendre quelque chose !

En tout cas ça sonne crédible, parceque dans notre beau pays quand une nouvelle invention apparaît il n'y a pas que la régie Renault comme ennemie et de loin, non ? Ce ténébreux silence est peu commun d'ailleurs pour une BD, même si ce n'est pas le meilleur des albums de la série; il vaut au moins pour son étrangeté savante in fine dissimulée dans le script. Pas le genre de littérature que je conseillerais aux dépressifs chroniques mais bon, on a qu'une vie comme disait mon cousin de la campagne...



résumé

Héritier d'une illustre famille de constructeurs d'automobiles et d'un véritable empire industriel, Marco Agnellys a été enlevé alors qu'il testait un prototype avec sa fiancée. Surnommée «la dernière impératrice», sa mère charge Ric Hochet de négocier avec les ravisseurs... Selon elle, le journaliste de «La Rafale» est le seul capable de mener à bien les transactions. Associé malgré lui à son père Richard, Ric se rend au rendez-vous fixé par les ravisseurs. Retrouvé vivant, Marco n'est cependant plus l'homme résolu et chaleureux qu'il était avant sa libération et il paraît bizarrement indifférent aux marques d'affection de sa mère...