La transpercée de Paris - les enquêtes de Cawèler
de André-Pierre Diriken

critiqué par Catinus, le 3 août 2013
(Liège - 73 ans)


La note:  étoiles
Spitant ! (= abracadabrantesque)
Le chat Cawèler ( = queue en l’air en wallon) et son fidèle lieutenant de la P.J. de Liège, François Boudrikêt, sont à la recherche de Miss Esneux qui a mystérieusement disparu. Important ! Sachez que Cawèler est le grand-père de François, mais c’est un peu long à expliquer ici – pour cela, reportez- vous au premier tome de la série « La pendue d’Outremeuse « - .

Cette histoire, assez spiante ( = abracadabrantesque) va nous emmener de Lîdge à Bruxelles et même à Paris. On s’y exprime en liégeois, à savoir en français + en wallon de Liège – la traduction est assurée ! - ; et pour la circonstance, en brusseleer et en parigot. Ambiance ! En bonus, vous aurez droit à un cours magistral sur le percing et le sado-maso, tout un programme. Sachez enfin que Cawèler et François sont très machos - pour notre plus grand plaisir ! –


Extraits :


- En fait, ce qui énervait tout le monde avec les seins de Déborah, c’était leur omniprésence. Faut te dire que la fliquesse ne faisait rien pour les rendre obsolètes (…)

- Quéne wasse ! ( = quelle nana ! )
- Va-s’ti fé tobokaner ! ( = va te faire foutre )
- Crolé sin djvés ( = chauve)
- Mes de coyons ( = mes deux choses)