Lentement, place de l'Eglise
de Pascal Sevran

critiqué par Gilou, le 14 février 2003
(Belgique - 76 ans)

La note: étoiles

Ecrire pour apaiser le vide de l’absence

Comme je le disais dans ma critique du Journal III, P.Sevran va peut-être " lasser " le lecteur. Pour moi, c’est chose faite. Ce volet IV de son Journal intime est encore très bon, au point de vue écriture, rien à dire, de la belle littérature mais, je crois que j’en sais assez pour l'instant. Surtout, s'il continue sur cette lancée. Le pli étant pris, il en écrira encore beaucoup d'autres… Jusqu'au bout sans doute. Je lui souhaite longue vie pour qu’il puisse encore noircir des pages et des pages.
Peut-être qu'il se remettra un jour à l’écriture d'une histoire, autre que la sienne. Il a la plume belle et n'a pas peur des mots. Je n'ai pas été déçue. J'ai simplement envie de lire autre chose de lui.