Vengeance à froid
de Lincoln Child, Douglas Preston

critiqué par Chris, le 16 mars 2013
(Bruxelles - 51 ans)


La note: étoiles
Rebondissement dans la saga
Le fin du volume précédent laissait sous-entendre qu'Hélène, la femme de Pendergast, ne serait peut-être pas morte ... L'histoire débute dans la campagne anglaise où Pendergast et son beau-frère Esterhazy, partis à la chasse, tentent de s'entretuer. Pendergast est laissé pour mort par Esterhazy qui s'enfuit en annonçant qu'Hélène est vivante. Pendergast s'en sort et va tout faire pour retrouver Hélène et découvrir la vérité mais il va devoir lutter contre l'Alliance. Pourquoi Esterhazy a-t'il tout fait pour que Pendergast ne découvre pas les origines familiales d'Hélène? L'enlèvement de Constance, sa protégée, va obliger Pendergast à prendre des risques.

Encore un thriller bien ficelé de Preston et Child, riche en découvertes et en rebondissements. Notre inspecteur du FBI préféré, Pendergast, doit déjouer des pièges et manque plusieurs fois de voir la situation définitivement mal tourner pour lui.

Vivement le prochain volume pour découvrir la suite de l'enquête de Pendergast sur sa femme Hélène!
La trilogie Helen : deuxième acte 9 étoiles

Ce deuxième tome de la trilogie concernant Helen, l'épouse de l'agent spécial Pendergast, se révèle aussi réussi et prenant que le premier.

L'on en apprend bien plus sur le frère d'Helen, Judson Esterhazy, qui a mis les pieds dans une organisation extrêmement puissante et aux ramifications multiples et internationales.
Nul doute que l'ultime volet nous délivrera les informations manquantes, et que tout comme nous, Pendergast saura de quoi il en retourne.

Ce duo d'écrivains sait vraiment bien animer son histoire, en proposant un excellent scénario teinté d'action et mené par un Pendergast, certes toujours autant efficace, mais qui fait malgré tout aussi quelques erreurs, ce qui le rend plus humain et surtout plus attachant que dans certaines autres œuvres.

Tout ceci donne envie de lire la suite et de connaître un dénouement, qui à la fin de ce deuxième volet, reste flou et incertain.

Ayor - - 52 ans - 18 novembre 2015