Cléopâtre
de Adèle Geras, M.P. Robertson (Dessin)

critiqué par Nance, le 12 août 2012
( - - ans)


La note:  étoiles
Pour les jeunes
La page couverture est incrustée de (fausses !) pierres précieuses, ce qui capte l’oeil, un peu à la façon de l’album de la même collection, Darwin d’Alan Gibbons, avec son papillon bleu en papier.

L’album est divisé en deux parties distinctes.

La première (et la plus longue) est le journal (fictif) d’une servante royale égyptienne de 10 ans qui nous raconte l’Égypte de l’époque de Cléopâtre. On nous conte la vie quotidienne de la reine et retrace les grands événements.

« Je peux donc écrire tous les faits importants de ma vie. Rami m’a donné quelques rouleaux de papyrus pour écrire un journal, ce que je vais commencer dès maintenant car j’ai beaucoup de choses à dire. À la prochaine pleine lune, lorsque j’aurai dix ans, j’irai travailler au palais royal pour la reine Cléopâtre. »

C’est romancé, agrémenté du quotidien, des soucis personnel du personnage, pour j’imagine interpeller encore plus le lecteur. C’est bon, mais c’est définitivement pour un public jeune (en particulier de l’âge de l’héroïne ?), je crois que les jeunes pourront facilement d’identifier à elle.

La deuxième partie a plus une forme didactique et donne des informations complémentaires sur la civilisation de l’époque.

C’est un album que j’ai aimé, mais c’est surtout pour les pré-ados. Les dessins sont riches en détails et sont immersifs. J’ai quand même passé un bon moment.