Tu ne te souviendras pas
de Sebastian Fitzek

critiqué par Aaro-Benjamin G., le 10 juin 2012
(Montréal - 55 ans)


La note:  étoiles
Un cas d’exception
Le départ de ce roman est des plus original et nébuleux alors qu’un avocat berlinois est amené à rencontrer un enfant de 10 ans qui s’accuse d’avoir commis des meurtres 15 ans plus tôt. Des crimes illogiques à moins de croire à la réincarnation. En parallèle à cette enquête que l’avocat accepte d’entreprendre, ce dernier reçoit une vidéo montrant son fils - qu’il croyait mort à la naissance - bel et bien vivant 10 ans plus tard.

Si cette introduction nous porte à croire qu’il s’agit d’un thriller surnaturel, il n’en n’est rien. La suite s’inscrit dans la tradition du roman policier avec son lot de poursuites et d’interrogatoires. L’intrigue nous mène dans les milieux pédophiles et c’est de manière conventionnelle que les explications de ce mystère sont révélées.

Un bon rythme et une écriture simple supporte l’action de ce roman. Mais, l’impression d’avoir quelque chose de révolutionnaire entre les mains s’essouffle rapidement. Les premiers titres de cet auteur allemand ont été louangés et il clair que cet opus est fabriqué avec une recette. Il s’agit d’un divertissement moyen, ce qui est déjà beaucoup.
bonne intrigue 8 étoiles

Plus on avance dans l'histoire , plus on veut savoir la suite

Sophia - - 69 ans - 19 août 2013


excellent! 8 étoiles

Très bon thriller. une histoire qui on le croit vire dans le fantastique pour au final avoir une très bonne explication; Un suspense haletant , de l'action, on est vite pris dans l’enquête; Bref on passe un très bon moment.

Darkvador - Falck - 57 ans - 1 avril 2013


je me souviendrai 9 étoiles

Moi je me souviendrai de ce livre qu'Aaro Benjamin a très bien résumé. L'intrigue est là, le suspense, une histoire qui se tient même si à la lecture de la quatrième on s'attend à un autre style de littérature.
Ne vous faîte pas avoir, ce roman est un thriller bien ficelé et qui se lit très vite.
Bref RAS

Oliivia - - 38 ans - 28 juin 2012