Portobello
de Ruth Rendell

critiqué par Chris, le 16 avril 2012
(Bruxelles - 50 ans)


La note:  étoiles
Des histoires qui s'entremêlent et trainent en longueur ...
Au départ de l'histoire, la découverte d'une enveloppe contenant de l'argent par Eugene, galeriste londonien. Il décide de mettre une affichette pour retrouver son propriétaire et à partir de là plusieurs histoires se passent. Une première personne se présente, mais ce n'est pas le propriétaire, il s'agit d'un voleur. Le vrai propriétaire, lui, est à l'hôpital et deviendra le patient privé de la fiancée d'Eugene. Un drôle de patient d'ailleurs ... Le tout se passe dans le quartier de Portobello à Londres, c'est d'ailleurs le seul lien avec le titre, il ne faut pas essayer de trouver une autre signification car il n'y en a pas.

L'histoire traine en longueur. Pendant des pages et des pages l'auteur se concentre sur l'addiction d'Eugene pour des confiseries, des chocoranges, qu'il cherche désespérément dans les boutiques de Londres. En parallèle, on découvre la vie du voleur et ses mésaventures, l'incendie d'une maison, sa vie amoureuse.

Je n'ai pas accroché à l'histoire, j'ai soupiré d'ennui en lisant ce livre mais suis allée jusqu'au bout en espérant une fin plus étonnante, ce qui ne fut pas le cas malheureusement.