Je suis heureuse sans toi, n'essaie pas de me retrouver
de Jean-Michel Sakka

critiqué par Senda, le 23 février 2012
(Los Angeles - 40 ans)


La note:  étoiles
Dans un Bangkok très BLADE RUNNER
Le sujet du livre : une petite fille à la recherche de sa mère.

L'ambiance : (extrait de la présentation de l'éditeur)
L'Asie... Un restaurant au bord d'une rivière. La lampe à pétrole jette un halo ambré sur le visage du jeune homme assis en face de vous. Il s'appelle Wanchaï. Il évoque une ancienne légende d'un autre temps, parle de bouddhas aux visages noircis de suie, puis raconte l'odyssée d'une petite fille confrontée au plus douloureux des défis : retrouver une mère dont elle ne se souvient pas et qui l'a abandonnée. Très vite, comme dans un conte fantastique, des ombres surgissent. Déformées, inconcevables. Psychotiques. La mère est morte, assassinée. Au fond d'une bibliothèque, un livre oublié recèle un piège mortel. Sur une photo, le v j d'une femme devient un leurre empoisonné. En écoutant, que se passe-t-il dans votre esprit ? Vous voulez des preuves, du tangible, parce que vous venez d'un monde où ce genre de choses n'existe pas ? En êtes-vous si sûr ?


Du grand art. Un roman à plusieurs niveaux. John La galite n'est pas très connu, mais je le classe dans les 5 meilleurs écrivains français.