Le dernier des juges
de Anna Rizello, Roberto Scarpinato

critiqué par Antihuman, le 13 octobre 2011
(Paris - 41 ans)


La note:  étoiles
Purement mensonger
Vraie nullité, - sans queue ni tête. Une fois le propos mensonger de l'oeuvre acquise il est évident qu'on ne peut rester insensible devant tant d'arrogance et de violence sociale flagrante.

Si encore il s'agissait d'une fiction; mais non il s'agit d'un essai aux multiples recommandations quand on oublie 1/ visiblement une énorme peur et une haine légendaire du blanc dans le texte 2/ trop de passages remplis uniquement pour se donner bonne contenance, en oubliant pourtant une franchise indispensable à la saine création d'une fiction viable. Et puis si on aimerait voir les vrais visages de ces gens qui restent dans l'ombre avec leur beaux propos et intentions, le goût et la saveur apparaissent incontestablement vieillots. Faux; tendancieux.
Un très beau préambule 9 étoiles

Je suis en total désaccord avec la critique précédente j'ai trouvé que ce court entretien posait une bonne base pour comprendre l'engagement de ce dernier des juges.
Je ne vois aucun mensonge ni arrogance mais le témoignage d'un magistrat engagé.
cette oeuvre qui n'est pas une fonction dénonce une réalité sociale et un mal systémique qui est présent dans toute les couches de la société et comment cette omniprésence conditionne tous les aspects de la vie italienne.
C'est un regard nouveau authentique et différent que propose l'auteur en mettant en lumière le propos de ce magistrat.
Vivement la traduction de ses mémoires!

Tristoun - - 37 ans - 14 octobre 2011