Putain d'Olivia
de Mark SaFranko

critiqué par Anonyme3, le 6 septembre 2011
( - - ans)


La note:  étoiles
Putain D'olivia
Quatrième de couverture:

Mark SaFranko sortie de nulle part. Un homme sans limites ni frontières, une espèce d’ovni littéraire que seuls quelques initiés sont capables de localiser. L’homme avance seul, écorché vif.Signes particuliers : un goût immodéré pour la prise de risques, une prose nerveuse et racée. Une littérature du corps à corps dans la lignée d’un Fante, d’un Miller, d’un Bukowski. SaFranko puise ses histoires dans les profondeurs sombres de sa propre existence et c’est une manière efficace de donner du punch à sa prose et quelques uppercuts à ses lecteurs.

Chambres de meublés pourris, jobs sans envergure,histoire d’amour et substances toxiques. Larmes amères et sexe pour Max Zajack, le héros, amoureux fou d’Olivia Aphrodite Tanga, beauté énigmatique et « putain » plus ou moins affirmée qui l’entraîne dans l’abysse d’une passion addictive, d’une fascination destructrice. Max avance sur un chemin sombre. Au bout, il trouvera l’apaisement. Départ immédiat pour un voyage de lumière et de ténèbres mêlées…

Ma Critique:

Livre passionnant et sortie de nulle part. Moins percutant qu'un Dan Fante mais plus extravagant.

A conseiller. Vive 13E Note et Mark SaFranko.