Remède mortel
de Harlan Coben, Cécile Arnaud (Traduction)

critiqué par Fleur783, le 5 septembre 2011
( - 72 ans)


La note:  étoiles
Remède pour insomniaque !
4ème de couverture :
« Après Sans un adieu, un nouveau collector publié en 1991 aux États-Unis, signé par un jeune Harlan Coben diabolique à souhait.
Une clinique new-yorkaise hautement sécurisée.
Un médecin qui se suicide.
Des patients sauvagement assassinés.
Coïncidences ? Complot ?
Et si l'annonce prochaine d'une extraordinaire découverte médicale avait déclenché cette vague meurtrière ?
Sara Lowell, jeune journaliste très en vue, mène l'enquête. Mais ses révélations pourraient bien faire d'elle la prochaine victime d'un mystérieux serial killer...
Guerre des lobbies pharmaceutiques, machination politique, pression des médias, mensonges... Au coeur d'un débat toujours aussi brûlant, un thriller angoissant et terriblement réaliste par celui qui allait devenir le maître de vos nuits blanches. »

Pour les amateurs du genre et les fans de Coben, un scénario machiavélique et palpitant.

A dévorer, en une seule bouchée !!!
Sida et Basket 6 étoiles

Le premier roman d'Harlan Coben, oeuvre de jeunesse.
Ce roman est pas mal, un peu alambiqué, mais on devine le talent de ce futur grand auteur de polar.
L'histoire se passe entre une clinique privée qui "découvre" le remède contre le sida, un tueur à gages psychopathe et le milieu basket NBA.
Harlan Coben aime le sport, et le basket en particulier, vu le nombre de romans publiés sur ce thème.
A découvrir.

Free_s4 - Dans le Sud-Ouest - 50 ans - 23 janvier 2016


Pas mal... 5 étoiles

J'aime assez les romans de cet auteur. J'ai lu toute la série Myron Bolitar et quelques autres mais pour celui-ci je trouve que l'on sent un peu que c'est un de ses premiers romans. Cela n'enlève rien à son talent bien sûr mais je trouve ce livre un peu trop "simple". J'ai quand même passé un bon moment de lecture.

Palmyre - - 62 ans - 30 septembre 2015


Élève prometteur 7 étoiles

L'auteur précise dans sa préface qu'il s'agit ici de son premier roman et nous encourage à ne pas commencer par celui-là si on ne l'a jamais lu ailleurs. Ce n'est effectivement pas son meilleur roman. Si nous passons sur les coquilles de l'histoire qui se révèlent à la fin, si nous passons sur les clichés, voire les caricatures de clichés qui font office de personnages, et si nous passons encore sur le surnom de "poignardeur de gays" qui a irrité mes oreilles de lectrice comme des ongles sur un tableau noir tout au long du roman, il reste somme toute un divertissement appréciable mais décevant pour ce à quoi Harlan Coben nous a habitués. Oui, c'est un "premier roman", mais personnellement je ne le savais pas avant de lire la préface et mes attentes n'étaient pas différentes qu'à l'habitude.

Gabri - - 38 ans - 29 juillet 2015


certes pas le meilleur 7 étoiles

Certes ce roman n'est pas le meilleur d'Harlan Coben mais c'est aussi son premier.
Comme dit l'adage c'est en forgeant qu'on devient forgeron et je trouve courageux de la part de l'auteur d'avoir osé publier son premier roman sans le retoucher au risque de décevoir. Cela sert aussi à montrer ce que peut être une première fois.
Personnellement j'ai trouvé qu'il était très plaisant à lire même si l'intrigue n'est pas aussi bien ficelée que dans ses romans suivants.
Je trouve même que pour un premier roman c'est très bien et que beaucoup d'auteurs ne feraient pas mieux même après quelques années de pratique.

Mayfair - Distroff - 51 ans - 3 septembre 2013


Un premier roman bien médiocre... 4 étoiles

L'auteur nous prévient dans son avant-propos : si vous n'avez rien lu de moi, ne commencez pas par celui-ci : je l'ai écrit il y a plus de vingt ans et... je n'en suis pas fier (c'est moi qui précise).

De fait c'est mal ficelé, c'est invraisemblable et peu intéressant ; ces histoires de sida et de pédés (pour reprendre les mots de l'auteur) ne sont guère originales et finissent par fatiguer le lecteur.

Pourquoi alors avoir publié ce mauvais texte ? Se poser la question, c'est y répondre : l'appât du gain bien sûr. Ce n'est pas élégant !

Tanneguy - Paris - 85 ans - 29 février 2012