Sonnets
de Louise Labé

critiqué par Nance, le 25 janvier 2011
( - - ans)


La note:  étoiles
« Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie »
Louise Labé (1524-1566, mais certains doutent qu’elle ait vraiment existé), c’est sur ce site que j’ai découvert cette poétesse française de la Renaissance.

Si j’ai trouvé certains de ses vingt-quatre sonnets puissants, vibrants de passion et de tourments féminins, je dois avouer que ce n’est pas vraiment mon genre de poésie. J’ai parfois trouvé ça kitsch et le fait que ça soit en rimes et écrit en vieux français (bien qu’il existe des adaptations en français actuel), ça ne m’aidait pas à fusionner. Ne pensez pas que je regrette ma lecture, j’ai passé un bon moment, juste pas un moment de félicité (je suis très difficile quand il s’agit de poésie). Enfin, je compte bien lire un jour ses Élégies et son Débat de Folie et d’Amour (qui aurait inspiré une fable de Jean de La Fontaine).

« Puis, quand je crois ma joie être certaine,
Et être au haut de mon désiré heur,
Il me remet en mon premier malheur. »