La dernière des salles obscures, tome 2
de Denis Lapière (Scénario), Paul Gillon (Dessin)

critiqué par Jean Loup, le 14 mars 2002
(Vaulx en Velin - 50 ans)


La note:  étoiles
Fin d'une jolie histoire
Ce second tome vient clore l'histoire de Raoul Rosensztroch, producteur de cinéma qui a traversé le XXe siècle et ses souffrances. J'ai déjà eu l'occasion de dire le bien que je pensais de "La dernière des salles obscures" ; le lecteur n'est pas déçu à la lecure de cette intrigue romantique secouée par le bruit et la fureur de l'Histoire. On comprend naturellement tous les points restés obscurs dans le premier volume. Le personnage principal prend toute son épaisseur, être complexe dont le sale caractère est le fruit d'une vie amoureuse douloureuse.
Le récit fait toujours une large mais judicieuse utilisation de la voix off. Les amateurs de phylactères seront peut-être grincheux... Plus sérieusement, cette histoire est une jolie réussite qui prendra avantageusement place sur vos étagères de bédéphile averti.