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La révélation des templiers critiqué par Chma, le 28 février 2002 La note: 
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| Que nous cache l'Eglise depuis 2000 ans ? | |||||||||||||||||||
| Il se pourrait que nous soyons à l'aube d'une révélation qui fera vaciller les fondements mêmes de l'Eglise catholique. Comme disait Malraux, "le XXIème siècle sera spirituel (ou religieux) ou ne sera pas". Pourtant on constate que les églises se vident . Paradoxe ? Peut-être pas. En effet, les messages de l'Eglise nous semblent vieillots, voire parfois superficiels tant elle nous a privé de la signification de symboles bibliques... pour (ré-)affirmer son pouvoir avec la Contre-Réforme. Cela fait une ou deux décénies que des gens mettent au jour ces symboles occultes, ésotériques ou du moins les sociétés secrètes qui les détiennent depuis des siècles, parfois au péril de leur vie. Dans ce livre, les auteurs explicitent leurs démarches - ce qui est parfois un peu lourd - et leurs découvertes. Ainsi, alors qu'ils s'intéressent à Léonard de Vinci et au suaire de Turin, Lynn Picknett et Clive Prince ont remarqué l'importance que de nombreuses sociétés secrètes accordaient à 2 personnages bibliques: Jean-Baptiste et Marie-Madeleine. Poussant leur enquête plus avant, les auteurs ont été amenés à étudier attentivement l'aventure cathare, les Templiers et la franc-maçonnerie. Ces hérétiques semblent avoir été les dépositaires d'un secret, qui constituerait le "chaînon manquant" du christianisme. Pour eux, Jean-Baptiste et Marie-Madeleine semblent avoir un rôle plus important que le Christ. De plus, le Christ ne serait pas mort sur la croix...et se serait marié et aurait eu une descendance! Si cela se révèle vrai, cela remettrait en question le célibat des prêtres. Peut-on encore croire aux Evangiles ? Que nous révèlent les Manuscrits de la Mer Morte ? Que nous cache l'Eglise ? Ce livre s'adresse à tous ceux qui se posent des questions sur leur foi; à ceux qui s'intéressent à l'histoire du Christianisme. Petite remarque: les notes qui renvoient en fin de volumes ne sont intéressantes que d'un point de vue bibliographique (et encore!) On peut donc lire sans allez sans cesse dans les notes. |
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