Froid comme le sang
de Alex Barclay

critiqué par Oliivia, le 30 août 2010
( - 38 ans)


La note: étoiles
Sans aucun intérêt
Amatrice d' Alex Barclay, cette dernière m'avait habituée à de meilleurs romans.
Mais quelle ne fut pas ma déception à la lecture de celui-ci. Pourtant à la lecture de la quatrième de couverture je m'attendais à entrer dans une bonne intrigue policière.

Jean Transom, trente-cinq ans, vit seule avec son chat. Elle a peu d’amis, n’a pas d’amant, ne compte pas d’ennemis, et travaille pour le FBI. Bref, elle mène une existence réglée, lisse et sans bavure, jusqu’au jour où elle est retrouvée assassinée dans les montagnes du Colorado.
Ren Bryce, agent du FBI aussi douée qu’incontrôlable, est chargée de l’enquête. Elle n’a pas le début d’un commencement de piste, elle n’inspire que méfiance à sa hiérarchie mais, pour que justice soit faite, elle vaincra les démons qui la hantent nuit et jour.

Soi-disant "une trame diabolique et un suspense implacable"... pour ma part on est bien loin à la lecture de ces 440 pages d'un quelconque suspense. Au contraire ce livre est plat, l'intrigue quasi inexistante et le dénouement n'est pas une surprise. De plus le récit vers la fin devient incohérent du tout au tout.
Non vraiment ce livre fut une vraie déception, et pourtant rares sont les livres que je juge si sévèrement...
Un roman pas si mauvais que ça..... 7 étoiles

Après la lecture de ses deux précédents romans, que j'avais trouvés pas mal, j'ai enchainé sur son troisième, qui n'a rien a voir.
L'intrigue se passe dans les montagnes du Colorado, le froid, un meurtre, l'enquête du FBI par Ren Bryce, avec humour (parfois lourd) et émotion.
On passe d'avalanche, en meurtre, gang de pilleurs de banques, pour finir par une affaire de pédophile.
C'est sûr la fin est un peu bizarre avec le regroupement d'affaires toutes liées...... mais bon, en fin de compte un roman pas si mauvais que ça, qui se laisse lire facilement grâce a ses petits paragraphes et ses nombreux dialogues.

Free_s4 - Dans le Sud-Ouest - 49 ans - 5 mai 2011