Au plat de la terre
de Antoine Duclercq

critiqué par BOVELLES , le 5 mai 2010
( - 68 ans)


La note:  étoiles
« résister pour exister, pour qu’une certaine qualité du monde subsiste».
Après « Tenir, deux en un », Antoine DUCLERCQ se livre avec « Au plat de la terre » à la rédaction de son deuxième « carnet de route ».
Ce « carnet de route » passe par les routes de Flandre et d’Artois
L’homme naît nu. Boiteux, il apprend à marcher.
Il voyage en platitude sur un chemin vers lui-même en espérant croiser « le grand prêtre du bonheur qui vient ».
S’affranchir, se dresser, devenir jusqu’à la chute. Mais la chute est-elle certaine ?
Il faut d’abord « résister pour exister, pour qu’une certaine qualité du monde subsiste».
Et puis n’y a-t-il pas une foi pure, sans nom et sans voix, une foi hors de toute raison, de toute saison, pour « convertir la vie qui passe en espérance qui dure »
Au long de ces 40 nouveaux textes, l’auteur s’offre et partage des regards croisés sur l’autre et sur soi tissés au cocon comme ver à soie dans l’ombre et dans la lumière.
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