On ressent bien l'époque d'écriture du livre : les jeux évoqués, les supports (les jeux sont encore sur disquette), ...
J'ai beaucoup aimé cette ambiance. Par contre, j'ai trouvé la fin un peu trop moralisatrice à mon goût. J'avais l'impression que finalement, pour comprendre la violence, il faut l'avoir vécu (je pense au personnage d'Elena, exilée de son pays natal déchiré par la guerre et le frère du personnage principal, soldat).

Le livre, à mon avis, est trop resserré sur ses personnages. Ce sera moins le cas dans le deuxième livre.

Alouette - Seine Saint Denis - 39 ans - 16 mars 2013

J'ai lu ce livre à la demande de ma prof de français de 4e qui nous faisait faire des fiches de lecture libres ( sans nous imposer de bouquins ). J'étais à court d'idées et elle m'a proposé de me prêter celui ci. J'ai du le relire deux fois pour être sûre de comprendre, et je pense que le relire maintenant ne ferait pas de mal.
Je me rappelle de ma stupeur et de la foule de sentiments qui se sont abattus sur moi à la dernière page, exactement comme à la fin de "W ou le souvenir d'enfance" de Perrec ou de "Soldat Peaceful" de Morpurgo ( que je conseille vivement, que vous ayez aimé "No Pasaran" ou pas )
C'était un livre prenant, insensé, improbable, mais il a eu un grand impact sur moi. Je me sentais proche des ados du livre, ( même si je ne suis pas accro aux jeux vidéos ) avec les clichés du voyage scolaire en Angleterre, l'escapade interdite loin du groupe, la classe multi-raciale, le rebelle de la classe qui fait peur même aux profs, je pense que c'est pour ça que j'ai plongé à ce point dans le livre.
Le croisement entre la réalité historique et le jeu vidéo est parfois si flou qu'on ne sait plus trop si on est dans l'un ou l'autre.
Prenant, droguant, dérangeant.

SkylarBlue - - 34 ans - 23 novembre 2010

Ce livre qui a plu à beaucoup de personnes, moi ne m'a pas touchée, ne m'a pas laissé un souvenir inoubliable.
Je le trouve ennuyant, c'est peut-être parce que je n'aime pas les jeux vidéos. Mais ce livre a quand même une morale, il nous explique les horreurs et la terreur, et qu'il y aura toujours des personnes pour les répéter ...

Sabrina - - 28 ans - 1 mai 2010

La guerre, tout simplement. Les nazis, évidemment. il fallait oser... Lehmann l'a fait!
Les descriptions d'actions sur les jeux vidéos sont prenantes, on se croirait parfois devant un ordinateur! Et la souffrance est écrite pour mieux nous piéger dans le livre comme le jeu les a piégés... une souffrance pure, ancrée dans le monde de la guerre....
génial, quoi! ^^
Il existe la suite, "Andreas, le retour", qui elle-même en appelle une autre... affaire à suivre!

sophie hoff, 16ans, 50

Destiny8350 - - 35 ans - 12 janvier 2006

Ce livre est vraiment Une folie du jeu chez des ados c'est fou comme il y sont accrochés et puis se retrouvent presque dedans!

Moka - Bruxelles - 35 ans - 15 juin 2002