Sailor Moon #01 : Métamorphose
de Naoko Takeuchi

critiqué par Nance, le 16 février 2010
( - - ans)


La note:  étoiles
« Pouvoir du prisme lunaire... métamorphose ! »
C’est le début de la série, notre héroïne est Bunny Tsukino, une collégienne de 14 ans un peu tête-en-l’air. Les jours coulent comme à l’ordinaire, mais elle sent qu’elle est différente. Une chatte qui parle nommée Luna va lui révéler sa vraie identité, elle est justicière, Sailor Moon. Elle doit retrouver ses compagnons et la princesse de la Lune pour la protéger. Bunny (Sailor Moon) va réussir à trouver trois autres justicières : Amy la surdoué (Sailor Mercury), la prêtresse Raya (Sailor Mars) et la forte Mako (Sailor Jupiter). Elles vont devoir affronter les monstres des serviteurs de la reine Béryl, qui est à la recherche du cristal d’argent pour son énergie (pour pouvoir dominer le monde, rien de moins !). Une autre personne convoite aussi le cristal d’argent, un jeune homme qui s’appelle Manoru qui lorsqu’il se déguise devient le Tuxedo Masqué. Est-il ami ou ennemi ? Bunny se sent irrésistiblement attiré par lui.

Bon, c’est un tome assez prévisible pour ceux qui connaissent vaguement la série, mais c’est la base. Sailor Moon est une série manga classique pour les jeunes adolescents et c’est aussi la série de mon enfance (je suivais aussi la série d’animation télévisée). J’ai eu le goût de la relire dernièrement par nostalgie (aussi, je n’avais pas lu les 18 tomes au complet !). Les attaques sont un peu enfantines, il faut mettre son cerveau à off, c’est très caricatural et très gros comme histoire, mais ça peut être bon quand on se laisse aller et qu’on aime ce genre d’histoire. Les graphiques sont superbes et il y a quelques bonnes touches d’humour. J’aime que l’auteure brise le quatrième mur pour s’adresser directement au lecteur, mais moins quand elle fait des interruptions pour parler (vendre ?) des produits dérivés... C’est moins pire dans les derniers tomes (ou on s’en aperçoit moins ?). En tout cas, c’est une série qui m’a fait rêver quand j’étais jeune (je dis ça déjà ?!)...