Peines de coeur d'une chatte anglaise
de Honoré de Balzac

critiqué par Pétoman, le 29 décembre 2001
(Tournai - 48 ans)


La note:  étoiles
des bêtes que nous sommes
Delestant de temps à autres les fabuleux romans de la "comédie humaine", Balzac nous dresse ici cinq nouvelles animalières.
Il trempe sa plume dans l'arsenic pour critiquer la société anglaise d'aprés le regard d'une charmante chatte anglaise, ensuite il nous fait un tableau des scientifiques de son époque d'une manière assez acerbe...bref, les animaux, vous l'aurez compris, ce sont les hommes. Et Balzac ne critique pas les animaux mais les hommes. Il semblerait aprés lecture de ce livre, qu'en définitive, que les animaux sont plus intelligents que les hommes... Ah, si l'homme, de temps à temps à autres, se comportait un peu plus comme un animal, la vie serait peut être un peu plus jolie.