Il est parti loin sur ce coup là le père Dard. Complétement azimuté dans la délirade. Il nous fait prendre les pieds dans le tapis, nous trimballe dans sa persécution et nous fait croire, est-ce possible, que l'on va perdre notre commissaire dans un asile de fous. Au milieu de tous ces délires, un homme, un seul reste droit dans ses bottes et met un terme à l'aliénation forcée de Sana. C'est le plus fidèle, Béru bien sur. De plus sans trahir la fin, nos deux compères quittent la police française et s'en vont monter une agence privée, va y avoir du sport.
Hexagone - - 54 ans - 19 novembre 2010 |