Bérurier au sérail
de San-Antonio

critiqué par Bookivore, le 23 septembre 2009
(MENUCOURT - 42 ans)


La note:  étoiles
Un des sommets !
Avec "Bérurier Au Sérail", on tient tout simplement un des plus grands crus de la saga des San-Antonio, une aventure hilarante et remplie de suspense et d'action, qui se passe dans un petit pays arabe imaginaire, le Kelsaltan, dirigé par l'Emir Obolan, un tyran sanguinaire. San-Antonio, assisté de Pinaud et Bérurier (et d'un kelsaltipe - habitant du Kelsaltan - en guise de traducteur), s'y rend afin de retrouver deux agents secrets français capturés et emprisonnés. Ainsi que de précieux documents, des secrets d'état.
Une histoire vraiment parfaite, drôlissime, dans laquelle les bons mots et les situations cocasses abondent. 220 pages de bonheur !
Un grand San Antonio 9 étoiles

On sait que parmi les San Antonio, les crus sont inégaux et ce n'est pas étonnant quand on connaît les rythmes de sortie de ces ouvrages mais aussi le style de l'auteur (style qui "oblige" parfois à tirer un peu sur la corde).

Ce "Bérurier au sérail" est un très bon volet de cette série. Tout y est et même de l'aventure !

Le style que l'on connaît avec les San Antonio, on le retrouve mais je trouve que le niveau de celui-ci est très bon.

C'est équilibré et très bon.

Vinmont - - 50 ans - 26 juin 2019


Oui ! 10 étoiles

Oui, je rejoins Bookivore sans hésiter ! Ce roman est un chef d'oeuvre de la saga san-antonienne. Je comprends néanmoins Alec. Avec sana, sois tu accroches (et tu deviens un fanatique, ce qui est mon cas), soit tu n'accroches pas du tout. En fait, Frédéric Dard ne laisse personne indifférent. Pas de réactions tièdasses avec lui...
Cette épisode a été écrit au milieu des années 60, un des apogées de la saga pour moi (l'équilibre entre la qualité de l'intrigue, le jeu sur la langue et l'humour étant le meilleur à mon avis dans cette période).

JEANLEBLEU - Orange - 56 ans - 13 avril 2013


Pas pour moi 2 étoiles

C'est le premier (et sans doute dernier) San Antonio que je lis. Je ne dois pas être calibré pour. J'ai eu un mal de chien à ne pas le laisser en cours de route. Heureusement que mon père est fan (et je voulais lui faire plaisir). Mais non, je ne peux pas.

Alec - - 42 ans - 1 octobre 2009