Vent dans les Sables (Le), tome 2 : Étranges étrangers
de Michel Plessix

critiqué par Miss teigne, le 11 juin 2009
( - 43 ans)


La note:  étoiles
De la relativité des choses
Rat, Taupe et Crapaud ont passé un séjour houleux sur un navire qui les emmène vers une destination inconnue. C’est finalement sur les terres d’Orient qu’ils débarquent. L’Orient…Ses senteurs, ses saveurs, ses contes, ses us et coutumes, son sens de l’hospitalité… Où qu’ils se tournent, nos amis sont confrontés à l’inconnu et à la nouveauté.
Mais dépouillés par un margoulin nos amis se retrouvent sans le sou et n’auraient su où passer la nuit sans l’intervention providentielle de Samir Djerbil qui propose de les héberger. Celui-ci leur fait visiter la médina.

Michel Plessix aborde avec humour mais exactitude le premier contact avec l’Etranger qui semble au premier abord tellement étrange. Tout est relatif donc. Le graphisme est toujours aussi superbe. Cet album est ponctué de contes et pensées orientales. L’humour est présent tant au niveau du scénario et des dialogues qu’au niveau du graphisme. Comment ne pas être séduit par cet univers graphique où même les petites abeilles portent le fez ? D’ailleurs, en parlant d’abeille, nous retrouvons Lucienne qui cherche toujours son Raymond… Mais où restes-tu donc Raymond !?