Je ne paraphraserai ni Oburoni, ni Feuerbach. La critique correspond en tout point aux qualités de cet ouvrage fondamental. Après Spinoza, Feuerbach, ensuite viendra Nietszche sous un autre éclairage. Mais surtout ne vous laissez pas rebuter par la préface ! C'est une logorrhée indigeste et absconse qui vient obscurcir et compliquer ce que Feuerbach expose avec une parfaite clarté. Sautez la préface et oubliez le préfacier !
Radetsky - - 81 ans - 25 septembre 2011 |