A Juan-le-Pins, San Antonio en vacance, tombe sous le charme, d’une certaine Julia-Delange devenue la poule de luxe d’un vieux Grec plein à craquer, répondant au nom un peu neuneu de Bitakis et ce, afin de péter dans la soie. Mais rassurez-vous, après avoir séduit cette belle de jour, le soir même, dans une boite de nuit toujours accompagné de sa conquête; un dénommé Amédée-Gueulasse pianiste y est empoisonné. Ainsi donc, la première viande froide servant d’amuse-gueule est servie !
S’il est dommage, que dans ce récit, on découvre vite, le pot aux roses, on peut apprécier peut-être davantage, ici, l’humour des surnoms attribués aux personnages, ou là, le coup de griffe donné aux hommes. Je cite :
« Pourtant les faits sont là, un peu là même : chez les humains c’est comme chez les faisans, le monsieur a plus d’allure que la dame »
Sans compter naturellement qu’Alexandre le bienheureux (Béru) est toujours là pour nous tenir un peu les côtes.
Plaisant.
Pierrot - Villeurbanne - 73 ans - 22 novembre 2014 |