L'homme que l'on prenait pour un autre
de Joël Egloff

critiqué par Taix, le 28 février 2008
( - 79 ans)


La note:  étoiles
Et si ce n'était qu'un rêve...
Rêve, car j'attendais mieux de l'auteur de l'Etourdissement - Prix du Livre Inter 2005. Remplissage ne rime pas toujours avec qualité.
Je me suis même demandé si Egloff et Bigard ne sont pas très amis. J'ai rapproché le texte page 79 ...Admettons que quelqu'un de malveillant veuille m'importuner en pleine nuit. Il faudrait d'abord pour cela qu'il soit en possession du code sans lequel il lui est absolument impossible de franchir la porte de l'immeuble... d'un certain sketch...
Pour cette fois je n'ai pas réussi à imaginer, Egloff nous avait habitué jusqu'alors à cette spontanéité d'images, ce pauvre bougre vedette d'un roman -sans queue ni tête! dirions nous-
Vivement le prochain roman.