La neuvième vie de Louis Drax
de Liz Jensen

critiqué par Mim, le 25 janvier 2008
(Onex Genève - 55 ans)


La note:  étoiles
Mon livre préféré
Quelle émouvante et magnifique histoire ! Mais quel suspense aussi.
A tour de rôle Louis Drax, petit garçon de 9 ans tombé dans le coma à la suite d'un "accident", et le Dr. Danachett, responsable de clinique, racontent l'histoire de ce petit garçon qui n'a eu que des accidents dans sa vie.
A cela se mêle l'enquête d'une inspectrice de police puisque le dernier accident de Louis n'en serait pas un... l'histoire d'amour qui naît entre le Dr. Danachett et la maman de Louis (et donc les ennuis du couple du Dr.).
A chaque page un rebondissement, des révélations.
J'ai trouvé cette histoire passionnante, touchante, drôle, captivante.
Impossible de lâcher le livre lorsqu'on l'a commencé.
Un excellent livre qui m'a donné envie de lire tout Jensen.
A lire absolument.
humour plat 5 étoiles

Moyen... longuet... je m'attendais à plus d'humour.
Et les personnages sont peu agréables je trouve.

Mais au final, c'est imprévisible dans la prévisibilité (cette expression est d'un clair...)

Manumanu55 - Bruxelles - 44 ans - 11 décembre 2008


Une poupée fragile 7 étoiles

Parce que Liz Jensen a habité en France un moment, son histoire se passe autour de Lyon, tout en gardant cette saveur typiquement anglo-saxonne. Le cauchemar commence alors que le pauvre petit Louis est encore victime d’un accident - supposément provoqué par son père - qui occasionne sa mort. Le garçon resurgit des ombres et nous parle en direct de son coma. Avec son point de vue enfantin, il décrit ses rencontres avec le gros Perez et le mystérieux Gustave… En parallèle, le docteur en charge de son cas tente de trouver une explication rationnelle à la malchance de son jeune patient comateux. L’intrigue se corse lorsque le gamin expédie des lettres de menaces à son entourage…

Un thriller avec de bonnes idées de départ et une certaine efficacité dans le développement d’une atmosphère d’étrange. Malheureusement, l’auteur ne cache pas bien son jeu. Au milieu, j’avais deviné de quoi il en ressortait. J’aurais aimé que le docteur et l’inspectrice soient aussi intelligents que moi afin d’amener l’intrigue à un autre niveau! Ce n’est pas le cas. La résolution ne fait que confirmer les évidences. Néanmoins, cela fait toujours du bien de se croire aussi bon que Sherlock…

Aaro-Benjamin G. - Montréal - 54 ans - 13 février 2008