Les envieux
de Francesco Alberoni

critiqué par Nance, le 17 décembre 2007
( - - ans)


La note:  étoiles
Curieuse
Je dois vous dire que si j’ai commencé à lire Francesco Alberoni, c’est pour son utilisation abusive des peintures de Gustav Klimt sur ses couvertures. D’accord ce n’est peut-être pas une bonne raison, mais que celui qui n’a jamais choisit un livre pour sa couverture me jette la première pierre.

Ici, l’auteur décortique les sources de l’envie et ses effets. Intéressant. J’ai aimé son commentaire sur la différence entre l’envie et la jalousie. Je ne suis pas toujours d’accord avec son raisonnement, mais l’ensemble est réussi et il avance de très bons points. J’ai trouvé son écriture un peu aride, comme ça l’est la plupart du temps dans les essais psychosociologiques. Mais bon, ça reste lisible.

Je le conseille à ceux qui veulent connaître une réflexion sur ce sentiment.