La voix
de Arnaldur Indridason

critiqué par BMR & MAM, le 8 août 2007
(Paris - 64 ans)


La note:  étoiles
Polar islandais où les drames du passé interpellent le présent
L'exploration du grand nord continue , même si Arnaldur Indridason n'est pas un inconnu après la Cité des jarres et surtout l'excellente Femme en vert.
Voici ce très bon auteur islandais de retour avec un troisième polar traduit en français : la Voix.
Arnaldur Indridason et son inspecteur Erlendur déambulent cette fois dans les froids couloirs d'un hôtel à touristes où, comme d'habitude dans ce genre de roman, on vient de découvrir un cadavre, juste avant Noël ...

[...] Le directeur avait précisé qu'il ne fallait sous aucun prétexte éveiller l'inquiétude dans l'esprit des clients de l'hôtel. Il ne fallait pas que l'Islande devienne trop fascinante ni qu'elle offre trop d'aventure.
[...] Ils s'étaient mis d'accord pour faire preuve d'un certain tact.
Erlendur excepté.

On vous laisse le plaisir de découvrir l'intrigue où, comme souvent dans les romans d'Indridason, le présent ne fait que répondre au passé.
Les drames tus et secrets du passé, les drames l'enfance malmenée, ceux que l'on croyait bien enfouis sous la neige, finissent par ressurgir tôt ou tard pour venir bouleverser les vies du présent.
L'inspecteur Erlendur lui-même n'échappe pas à la règle : dans ce troisième ouvrage on en apprendra encore un peu plus sur le drame qui lui arracha son frère il y a longtemps ainsi que sur ses relations conflictuelles mais bien actuelles avec sa fille Eva.

[...] Parfois, ils n'avaient rien à se dire. Parfois, ils se disputaient violemment. Jamais ils ne parlaient de ce qui n'avait pas d'importance pour eux.
[...] Seuls eux deux, leur passé et leur présent, cette famille qui n'avait jamais vu le jour parce qu'Erlendur l'avait abandonnée, la tragédie d'Eva et de son frère Sindri, la haine que leur mère portait à Erlendur; seules ces choses-là avaient de l'importance dans leur esprit et donnaient le diapason à toutes leurs relations.
Une belle constance 8 étoiles

Arnaldur Indridason offre une belle constance jusqu'à présent dans cette série mettant en scène l'inspecteur Erlendur.

Celle-ci, la troisième, se déroule essentiellement dans un grand hôtel de Reykjavík dans lequel est retrouvé le cadavre du portier.

Rapide à se mettre en place, cette enquête, en plus d'être réellement crédible, permet à l'auteur d'étoffer de belle manière le profil des personnages, Erlendur en tête.

Tout cela donne envie de poursuivre.

Ayor - - 51 ans - 29 mai 2021


Opus Erlendur n°5 9 étoiles

La « petite musique » d’Arnaldur Indridason est là, encore une fois. L’Islande, son obscurité de l’hiver, le froid omniprésent, la relative solitude des habitants … et les habituels comparses du Commissaire Erlendur : Elinborg et Sigurdur Oli. N’oublions pas Eva Lind, sa fille, qu’il n’a pas élevée et qu’il a retrouvée dans sa vie, tard, trop tard, après qu’elle ait basculé dans la drogue.
Un hôtel de luxe à Reykjavík envahi de touristes (ça va être Noël) et un Père Noël, accessoirement portier de l’hôtel, retrouvé dans les sous-sols de l’hôtel, pantalon baissé sur les jambes mais surtout assassiné à coups de couteau. Bien mystérieux tout ceci, même pour Erlendur, troublé par ailleurs d’une part par les interventions répétées d’une séduisante laborantine, Valgerdur, qui vient effectuer les prélèvements ADN dans l’hôtel, et d’autre part par les visites fréquentes d’Eva Lind, en veine de contacts avec son père. Il se sent tellement seul le gars Erlendur que le voilà finalement prenant chambre au sein de l’hôtel pour enquêter in situ (et aussi parce qu’il est diantrement seul dans son antre, comme il l’appelle).
Enquête classique avec toujours autant de psychologie pour tous les protagonistes qui peuvent graviter autour de cette affaire. On aime ou on n’aime pas ce genre d’enquête très introspective avec peu d’actions mais quand on aime, c’est un régal.
Revient comme un leitmotiv – et ce dans tous les romans de la série Erlendur – la douleur incurable de la perte du petit frère une nuit de blizzard dans la montagne islandaise.
Il est question donc de la faune d’un hôtel de luxe, depuis la direction jusqu’au portier en passant par les call-girls, d’un petit garçon doté d’une voix exceptionnelle sur le point de devenir star quand sa voix tout à coup mue. Il est question bien sûr de misère et de détresses humaines. La vie comme elle va à Reykjavik.

»Le brouhaha du restaurant se transforma graduellement en silence. Les clients de l’hôtel se regardaient interloqués et levaient les yeux en l’air à la recherche de la source de la voix sublime et claire qui venait leur caresser l’oreille. Les employés écoutaient, immobiles et silencieux. On aurait dit que le temps s’arrêtait, l’espace d’un instant.
Ils sortirent de l’hôtel et Erlendur fredonnait tout bas le psaume magnifique interprété par le jeune Gudlaugur ; à nouveau il ressentit au plus profond de lui la douloureuse sensibilité de la voix de l’enfant.
Ô Père, de moi faites une petite flamme en cette brève existence … »


Une belle manière de faire connaissance avec l’Islande.

Tistou - - 67 ans - 20 octobre 2020


Vivre après un « manque » 6 étoiles

Dans ce livre, l’auteur nous fait percevoir le combat de différents individus contre le vide existentiel. Nous comprenons la relative atonie de sentiments du commissaire par la culpabilité d’en être sorti vivant alors que son petit frère a péri dans une violente et soudaine tempête lorsqu’ils étaient enfants. Nous voyons les remèdes que les individus peuvent apporter à une absence de sens de la vie ou d’attention de la part d’autrui : s’enfuir dans le travail ou s’oublier dans la drogue, ce qui réduit les relations personnelles. La vie d’un hôtel et les inimitiés entre collègues sont aussi montrées en filigrane.

Le portier d’un des grands hôtels de Reykjavik qui officiait aussi comme père Noël et allait être licencié est retrouvé mort dans une position scabreuse. Plusieurs coups de couteau lui ont été portés dans le cagibi insalubre en sous-sol où il logeait depuis 20 ans. Le commissaire Erlandur enquête avec ses 2 adjoints à quelques jours des fêtes. Il découvrira notamment que la victime a été un chanteur à la voix pure jusqu’à l’âge de 12 ans où une puberté précoce a arrêté sa carrière. En parallèle, une histoire d’enfant battu avec une fausse piste sur l’auteur des coups. Il y a aussi l’aspect filial avec les visites intempestives de la fille du commissaire. Elle essaie de ne pas replonger dans la drogue après une fausse-couche et est toujours agressive envers son père car elle pense qu’il les a abandonnés, elle et son frère, en quittant leur mère sans se battre pour les voir, et donc qu’ils comptent peu à ses yeux.
IF-0314-4191

Isad - - - ans - 22 mars 2014


Pas tous les jours drôle de vivre en Islande 8 étoiles

J'ai découvert au travers de ce roman une autre vision de l'Islande. Moi qui l'imaginais calme, paisible, j'ai été surpris de découvrir son cynisme, sa noirceur, la drogue, la prostitution , ..
Dans la veine de tous les héros de polars scandinaves, Erlendur est dépressif, il trimballe une enfance qu'il a du mal à assumer, sa femme l'a plaqué il y a bien longtemps, sa fille est droguée, il est a le mal de vivre. Mais c'est un sacré flic, qui décide de s'installer sur les lieux du crime, et qui va dénouer avec psychologie et patience tous les secrets et mystères de cette affaire tordue.

Pierraf - Paimpol - 66 ans - 29 septembre 2012


Pas transportée 7 étoiles

Des trois enquêtes , celles que j'ai le moins aimée . Eva m'a un peu soûlée (bon Dieu qu'elle est lourde bien qu'avec elle on en apprend plus sur Erlendur) et j'ai trouvé quelques longueurs ici et là . Agréable à lire mais j'ai pas été passionnée par l'histoire de l'enfant maltraité car on voyait ça d'un oeil extérieur . Même si c'était sympa d'en savoir plus sur le monde des collectionneurs (de disques) c'était une histoire correcte mais pas extraordinaire

Marlène - Tours - 46 ans - 11 juin 2012


toujours aussi plaisant 8 étoiles

mon 3ème Indridason et toujours ce plaisir immense de retrouver Erlendur et Cie.
C'est limpide, agréable autour d'une intrigue très bien ficelé.
Merci pour ce très bon moment de lecture en attendant la suite !

Gardigor - callian - 46 ans - 16 mai 2012


Sous la neige de Noël… 10 étoiles

Dans ce roman où l’enquête se porte sur la découverte d’un Père Noël assassiné, chacun semble porter un drame humain, les événements se succèdent avec lenteur mais intérêt, avec Reykjavik, la capitale de l’Islande, comme toile de fond. Après La Femme en vert, ceci est le deuxième roman de cet auteur que je lis.
Chacun des personnages de ce récit cache un secret comme un fardeau et c’est dans une atmosphère lourde de non-dits que se déroule l’enquête. Ce roman est très noir, lourd de mystère, de tristesse, sans parler de l’atmosphère glacée, monotone, en un mot hostile. Mais derrière cette noirceur se dégage une profonde humanité, touchante, percutante, avec un humour grinçant aussi.
Un auteur à découvrir, pour son indéniable talent d’écrivain et son sens de l’intrigue.

FranBlan - Montréal, Québec - 81 ans - 7 mars 2012


Adopté !! 9 étoiles

C'est mon deuxième roman d'Indridason après"La femme en vert", et je suis complètement sous le charme.
Les thèmes abordés (une enfance et un être humain broyés par les ambitions d'un père, et un rêve de gloire qui s'écroule) est original, extrêmement touchant et décrit avec une finesse et une sensibilité rares.
Les romans d'Arnaldur Indridason respirent l'intelligence, cela faisait longtemps que je n'avais pas éprouvé autant de plaisir à la lecture d'un polar, ou même simplement d'un roman.
On retrouve avec bonheur les mêmes enquêteurs qui évoluent, et on s'attache de plus en plus à Erlendur, père maladroit, homme fatigué, enfant traumatisé, policier hors pair...
Même le cadre, un huis clos dans un hôtel, m'a séduite.
A dévorer sans retenue... et dans l'ordre de parution si possible.

Valadon - Paris - 43 ans - 13 janvier 2011


bien ficelé! 7 étoiles

Voici une nouvelle intrigue du merveilleux Indridason, intrigue qui est somme toute beaucoup plus simple que les 2 précédentes aventures ("La cité des jarres" et "La femme en vert"), peut-être un peu trop, j'attendais un coup de théâtre qui n'est pas venu mais que les fans se rassurent: ce petit cluedo en huis clos est absolument délicieux!! Ce qui m'a le plus passionnée dans cet épisode c'est la profondeur des personnages et notamment Erlendur, l'inspecteur. Nous apprenons beaucoup de son passé et des relations difficiles qu'il entretient avec sa fille! La description de la vie du personnage découvert assassiné est aussi très profonde et aborde plein de thèmes sociaux et humains. Au delà de l'intrigue assez banale, le régal se trouve dans le récit lui même et la galerie de personnages tous touchants.

Poki - - 49 ans - 3 mai 2010


enfance maltraitée. 6 étoiles

Une sorte de "huis clos" dans un hôtel, où l'on vient de trouver le Père-Noël assassiné.
Un livre qui aborde la maltraitance vis à vis d'enfants, ainsi que l'homosexualité.
Avec INDRIDASSON il y a peu d'action, mais une approche psychologique des individus.

Pat - PARIS - 60 ans - 30 avril 2010


Un roman bien écrit et traduit 10 étoiles

La voix le troisième roman de Arnaldur Indridason , j'ai lu les deux autres romans que j'ai adorés et ce troisième livre est aussi bon que les deux autres romans , une histoire bien ficelée et qui nous fait découvrir un inspecteur qui essais de guérir son âme et qui sait nous émouvoir une enquête qui nous tient en haleine . Je vous le conseille mais selon moi il faut commencer par le premier La cité des Jarres et La femme en vert pour suivre le personnage principal l'inspecteur Erlunder pour connaitre ses émotions. J'ai ses deux autres romans L'homme du lac et son dernier Hiver arctique que j'ai bien hâte de lire .

Bonne lecture !

Leliseur - - 67 ans - 14 octobre 2009


Noël en Islande !!! 8 étoiles

Encore beaucoup de plaisir avec cet auteur, dont je n'arrive pas à me détacher.
Dans cette enquête, Erlendur doit découvrir pourquoi le Père-Noël de cette hôtel de luxe est mort dans le cagibi qui lui servait de chambre depuis 20 ans.
Cette enquête nous permet aussi de découvrir un peu plus la vie d'Erlendur et surtout ses souvenirs, en particulier ce frère disparu, la culpabilité qui le ronge depuis tant d'années.

Lecture toujours très agréable d'Arnaldur Indridason.

Dudule - Orléans - - ans - 25 septembre 2009


la voix résonne moins fort que la femme en vert 7 étoiles

Toujours aussi ravie d'avoir partagé quelques pages avec Arnaldur Indridason mais je dois avouer que ce 3ème roman de cet auteur islandais est - à mon goût - moins réussi que les précédents.

Le mystère est moins ténu et je me suis sentie moins happée que dans "la femme en vert" par exemple où il me tardait de connaitre enfin la fin de la vie de cette femme.

Malgré tout, "la voix" reste un très très bon roman où passé et présent s'entremêlent et se chevauchent comme sait si bien faire Indridason.
Je le critiquerais sans doute moins durement s'il n'était pas le 3ème de cet auteur qui m'a tant fascinée avec ses 2 premiers titres. ;)

C.line - sevres - 46 ans - 13 août 2009


Pour le mal à l'âme 8 étoiles

C'est le premier roman que le lis de cet auteur. Il y a longtemps que je n'avais pas vu un mélange des genres aussi réussi. L'intrigue policière, somme toute assez bonne, est doublée d'une description de drames humains, de mal de vivre hors du commun. Les personnages m'ont beaucoup touché et c'est ce que je retiendrai de ce roman tout en douceur.

Pipierre - - 64 ans - 27 février 2009


Moins fort que les précédents… 7 étoiles

Voici nos 3 enquêteurs plongés dans une intrigue des plus classiques, ce à quoi Indridason ne nous avait pas habitués dans les 2 premiers tomes. Un peu de déception donc, car nous avons ici un roman policier qui se laisse lire, certes, mais qui est loin d’être aussi particulier, puissant, nouveau que les précédents. Où est passé le côté dramatique, tellement bien maîtrisé dans « La femme en vert » ? Tout est ici de facture traditionnelle : le meurtre, l’enquête, les personnages, le petit rebondissement final, parce que, quand même hein, il faut un petit peu de peps…

A côté de ces déconvenues, j’ai apprécié le détour par la vie privée d’Erlendur qui apporte un plus indéniable au roman, conférant une épaisseur intéressante au commissaire. Mais même dans ce domaine, nous savions déjà presque tout grâce aux tomes précédents dans lesquels l’intensité dramatique était à son comble, alors qu’ici beaucoup moins.

Il reste un roman policier à l’intrigue parfaite, au rythme normal, à la lecture délassante…

Saint-Germain-des-Prés - Liernu - 56 ans - 26 janvier 2009


Toujours aussi bon. 10 étoiles

Décidément cet auteur est toujours aussi bon, après avoir savouré ses deux premiers romans je me suis délecté avec celui-là. Comme à son habitude, il nous plonge dans l'univers sombre du polar, avec un parfum de nostalgie, pour cet opus. Le thème de l'enfance volée est abordé avec beaucoup de talent, et l'inspecteur Erlendur a toujours autant de tourment.
J'ai retrouvé l'ambiance un peu glauque que j'affectionne particulièrement et que je retrouve chez des auteurs comme Ian Rankin, Henning Mankell..., qui nous livrent un personnage tourmenté et une ambiance des plus sombres.
Bref cet auteur a tous les talents d'un grand écrivain de polar, et ces romans sont des petits chefs d'œuvre que l'on prend plaisir à lire. Je recommande ce livre aux amateurs du genre, ils seront comblés...

Laurent63 - AMBERT - 49 ans - 12 janvier 2009


Manque de souffle... 5 étoiles

C'est le premier ouvrage de cet auteur que je découvre. Je pensais trouver un "Mankell" islandais et j'ai été déçu. Les difficultés personnelles du commissaire Erlander, exposées parfois avec complaisance, nuisent au rythme de l'enquête qui ne dure qu'une semaine mais semble s'éterniser.

J'essaierai de m'intéresser aux précédents ouvrages d'Indridason qui paraît très apprécié par les lecteurs de Critiques Libres.

Tanneguy - Paris - 84 ans - 1 septembre 2008


Grand Prix de littérature policière étranger / Trophée 813 étranger 10 étoiles

Quel plaisir de retrouver la limpidité des intrigues de cet auteur islandais ! Cette fois, elle est beaucoup moins complexe que dans les précédents opus, en conséquence la lecture est d’une aisance exemplaire dans le genre. Un polar dans les règles de l’art. Un meurtre. Beaucoup de mystère et de sales secrets… Rien d’innovateur. Mais un récit totalement maîtrisé.

Aaro-Benjamin G. - Montréal - 54 ans - 5 juin 2008


Noirceur islandaise 8 étoiles

Un homme déguisé en Père Noël est retrouvé poignardé dans un cagibi, son logement, au sous-sol d'un hôtel de classe qui l'employait comme portier. Un homme solitaire que personne ne semble connaître et qui fut pourtant, des décennies plus tôt, une célébrité nationale. Mais l'Islande peut avoir la mémoire courte et Erlendur ne tarde pas à s'en rendre compte. Personne n'a rien vu, rien entendu et le pauvre Gulli semble être mort dans l'indifférence totale, pantalon baissé et visage terrifié.

Une bonne enquête, une de plus, de Arnaldur Indridason. Toujours ce ton désabusé, ce flic paumé dans la glu des souvenirs, avec une fille encore plus perduee (assez insupportable sa fille, ceci dit) et ce portrait sans condescendance d'une Islande en proie aux bouleversement. A l'instar de ce que peut faire Henning Mankell avec le portrait sombre qu'il dresse de la Suède actuelle, Indridason livre une version peu idyllique de son pays.
Parallèlement, le poids du passé, en particulier lorsqu'il est douloureux, prend beaucoup de place dans ce récit et cela n'est pas sans difficulté pour Erlendur qui doit constamment se rappeler ce frère disparu, cette culpabilité qu'il semble porter à jamais sur ses épaules.
Lecture très agréable!

Sahkti - Genève - 50 ans - 11 mars 2008


Bien sympathique 9 étoiles

Après "la Cité des Jarres" et "la Femme en vert" que j'ai fort apprécié, j'ai acheté "La voix" du même auteur. je n'ai pas été déçue, ce troisième livre égale les deux autres même si l'histoire est différente. Bien sûr, il s'agit toujours d'une enquête policère dirigée par Erlendur et ses fidèles acolytes.
Bref très bon roman encore une fois, à lire si ce n'est déjà fait, n'hésitez pas une seule seconde.
Vivement le quatrième roman de Arnaldur !
Bonne Lecture !

Ediane - Yvelines - 53 ans - 26 février 2008