A la vue, à la mort
de Françoise Guérin

critiqué par Brice, le 30 juillet 2007
( - 55 ans)


La note:  étoiles
A la belle découverte!!
Cette année encore , le prix du premier roman du festival de Cognac met en lumière un nouvel auteur pour qui qualité rime avec nouveauté...
il faut dire que l'auteur est bien connue des auditeurs de france bleu après 23H...
Bonne prise en main de la psychologie des personnages et chute très intéressante...
Lu en une soirée, à conseiller pour cet été, un auteur à suivre donc!!!
Ca se lit d'un trait ! 9 étoiles

Super polar, un régal, c'est vif, l'intrigue est dense et soutenue et la chute inattendue !
Et une belle balade dans le monde de la psychanalyse et de la psychose, sans prise de tête, en toute simplicité.
A recommander, pour un premier livre, c'est impressionnant.

Pierraf - Paimpol - 67 ans - 10 mai 2013


Sublime 10 étoiles

Magnifique!!! Intrigue bien ficelée, à lire absolument. Une fois dedans, on ne peut plus le lâcher.

Gab2008 - brest - 45 ans - 9 juin 2008


Très bon 8 étoiles

Pour un premier roman, on peut dire qu'il est réussi!
Suspense, personnages atypiques, intrigue bien ficelée.
Tous les ingrédients du polar sont réunis dans ce très bon livre où cadavres en série, psychanalyse et chat hideux se croisent.
A lire donc!

Julia. - - 40 ans - 14 novembre 2007


A lire de toute urgence 10 étoiles

Des personnages très attachants, une intrigue parfaitement menée et une très bonne chute m'obligent à donner à ce livre une très haute appréciation !

ScoubiLobiLo - - 44 ans - 25 septembre 2007


Le poids de la culpabilité 8 étoiles

Fichtre ! Obtenir d’emblée le prix du premier roman du festival de Cognac est déjà impressionnant en soi, mais offrir ainsi des heures de torture délicieuse à nos neurones est un sacré bonus. Françoise Guérin fait très fort avec son premier roman, et si la plume de la nouvelliste était charmante et mutine, elle prouve ici qu’elle manie à merveille le domaine psychanalytique.
Eric Lanester est profileur, un crack dans son domaine. Il excelle à se placer littéralement dans la tête des assassins qu’il traque, aussi ne peut-on être totalement étonné qu’il perde soudain la vue alors qu’il est sur la piste d’un tueur obsédé par les yeux. Il signe en effet ses crimes par une énucléation et un gros œil dessiné au plafond.
De fausses pistes en travail sur soi, on avance au rythme des histoires de famille, des tragédies dont on porte la charge sa vie durant ; sans oublier pour autant d’aérer tout ça avec quelques bons petits plats, un soupçon de sexe (pas assez, Françoise, rhoo ça démarrait bien, cette scène dans le noir !!), d’amitié et d’un drôle de chat pas beau.
Je reconnais que je m’étais fourvoyée dans la fausse piste qu’on nous tend, pas vu venir le coupable !
Un très bon opus du masque, qu’il ne faut pas hésiter à (s’)offrir !

Cuné - - 57 ans - 9 août 2007