Le maître des mensonges
de Graham Masterton

critiqué par Mayfair, le 4 juillet 2007
(Distroff - 51 ans)


La note:  étoiles
Frissons garantis
Une série de meurtres absolument horribles est commise à San Francisco. Le policier en charge de l’enquête ne trouve pas de points communs qui lui permettent de définir s’ils sont du même auteur. Mais au fil de l’enquête un visage démoniaque apparaît dans la paume de la main, un visage qui lui murmure secrets, menaces et mensonges. Cette apparition le fera se tourner vers le surnaturel et découvrir qu’il s’agit de meurtres rituels. Il lui restera donc à découvrir dans quel but ils sont perpétrés et empêcher une force démoniaque de se déchaîner….

Dès les premières pages l’auteur nous plonge dans le bain (sanglant) de son roman. Le début de l’histoire est extrêmement violent, dur et truffé de détails qui ne laissent aucune place à l’imagination : limite (pour ne pas dire carrément) gore, quoi ! Certaines personnes de ma connaissance ont d’ailleurs été incapables de dépasser les trois premiers chapitres, c’est pour dire !

Ensuite il s’agit d’une enquête policière où intervient une bonne dose de fantastique.

Comme toujours, Masterton nous transporte dans son univers mystérieux dont il a le secret. Excellent ! Probablement un de ses meilleurs.

En tout cas c’est celui qui m’a fait découvrir ce maître de la terreur et m’a permis de convertir une de mes amies à ce style de romans et en particulier à cet auteur.

Mais, selon l’expression consacrée « âmes sensibles s’abstenir ».