Voici un extrait de Deguy qui m'a particulièrement écoeuré dans ce galimatias rebutant :
"Son eau fume C'est après le départ des fidèles
L'océan bave comme un mongol aux oreillers du lit
Charogne en boule et poils au caniveau de sel"
En lisant ceci et d'autres écrits du même tonneau je me dis qu'écrire n'importe quoi dispense d'un quelconque talent, cette prose est à la poésie ce que le fumier est à la rose.
c'est la première fois que je peux faire une critique de ce genre de poésie, sur tous les blogs évoquant Deguy il n'y a pas de messages possibles, tout est verrouillé, c'est sans doute mieux car qu'en dire ? Quelques lignes suffisent à comprendre.
Il y a tant de bons poètes à lire... Lecteur passe ton chemin, cet ouvrage est un désarroi.
Stéphane
Nb : le 0,5 est exigé par le programme informatique, en réalité mon vote est : 0
Stéphane Evreux - - 58 ans - 4 juillet 2010 |