Le roi de la pastèque
de Daniel Wallace

critiqué par Elfe191, le 29 novembre 2006
( - 68 ans)


La note:  étoiles
déçue
Présentation de l'éditeur
"Je vous l'accorde, l'élection du roi de la pastèque peut être considérée comme un manque de goût choquant. C'est être irresponsable que de promouvoir le sexe à notre époque. Mais soyons francs : les gens d'ici s'intéressent plus au décompte des graines de la plus grosse pastèque de la ville qu'au Sida ou à ce genre de choses. C'est ce qu'un étranger comme vous ne peut pas comprendre. C'est notre histoire. J'étais donc favorable à chacun des aspects de notre fête, et je le serais encore. C'était notre prospérité. [...] Le roi de la pastèque est symbolique de tout ce que nous avions et de tout ce que nous avons perdu. Et nous nous y accrochons encore, parce que, si nous le perdons, si nous perdons ce souvenir, que nous restera-t-il ? Rien. Nous ne sommes rien qu'une ville comme toutes les autres. C'est ce que votre mère voulait faire de nous. Une ville comme les autres."
Le jeune Thomas Rider part à la recherche de ses origines, découvre la vérité sur sa mère, morte à sa naissance, celle par qui le scandale arrive et avec qui meurt le plus grand mythe de la petite ville d'Ashland, le roi de la pastèque. Une histoire désopilante, tendre et brutale au rythme extraordinaire qui s'attache à toute une ville plutôt qu'au seul héros.


Mon Avis
Pas grand-chose d’intéressant dans ce roman, l’histoire de ce jeune homme qui cherche son identité et celle de ses parents est sans intérêt, ce roi de la pastèque m’a déçue et son auteur également la fin est brouillonne et si cela se veut fantastique c’est raté et si il y a un message il doit être subliminal car je ne l’ai pas perçu ma note sera donc basse
Voilà 4 étoiles

La façon dont l'auteur a écrit son m'a amené à aimer ce livre. Il a utilisé des mots faciles à comprendre. Les personnages sont bien décrits (à part Thomas). Leurs mimiques, apparences et antécédents sont très bien trouvés et racontés.
L'histoire dans son ensemble est bien recherchée. Je trouve dommage, que l'information que l'on attend n'arrive pas assez vite. Par conséquent la lecture de cet ouvrage devenait lassante. A chaque fois que l'on commençait une nouvelle page on voulait savoir ce qui s'était passé. L'auteur tournait trop autour de l'information que l'on essayait de trouver.
C'est le seul roman qui ne m'a pas donné envie de le finir. Sûrement pas à cause de sa longueur mais simplement parce que le livre est divisé en trois chapitres. Chaque partie est expliquée par une autre personne. Pour la première composante, Thomas reçoit des informations sur sa mère. En ce qui concerne le second chapitre, on raconte la croissance de Thomas et pour la dernière, il s'agit de la suite de la première.

Gilleke - - 30 ans - 25 novembre 2011