Soul Circus
de George P. Pelecanos

critiqué par Grass, le 5 novembre 2006
(montréal - 47 ans)


La note:  étoiles
Le dernier homme debout l'emporte
Un peu associé par défaut au procès du gangster Granville Oliver, qu'on doit condamner à la peine de mort, Derek Strange, détective privé se trouve lancé dans une histoire tentaculeuse, un peu pris au milieu d'une guerre de gangs, la bande de Yuma et la bande du 600, en plein Washington des années 90.

Pelecanos nous balance une galerie de personnages renversants, petits gangsters minables, gros gangsters pathétiques et une équipe de privés (Strange et Quinn, son partenaire) qui essaient de faire un peu de ménage là-dedans. Entre les portions de crack bidon, le recel d'armes à feu, les réglements de compte, les films western et la soul music, Pelecanos assure, y'a pas à dire.