J’avais un a-priori négatif, même si j’aime l’écriture de Duperey, car les récits et moi, nous sommes « moyens potes ». Mais là, j’ai vraiment été embarqué dans la vie de de Madame Anny, Et puis j’aime les chats donc ça aide. A côté de l’animalier, il y a des moments très profonds, des réflexions sur sa vie, qui m’ont vraiment touché.

Et j’en profite pour faire une caresse à mon siamois, Pot’choco ;)

Manumanu55 - Bruxelles - 45 ans - 28 juillet 2009

Ce sont les histoires des chats qui ont croisé la route d'Anny DUPEREY. Il s'agit de la description de sa relation avec les chats et avec les animaux en général, ainsi que quelques anecdotes spécifiques et le tout rendent la lecture de ce livre très touchante.

Souvent tristes, les histoires font ressortir la relation fusionnelle de l'auteur avec cet animal très particulier.

Je ne rattacherai pas ce livre à d'autres romans de l'auteur, car comme l'a joliment dit Gilou (pour une note bien dure finalement...), Anny DUPEREY s'est fait plaisir avec cet ouvrage proposant diverses variations sur le même thème.

J'ai passé un très bon moment...

Lindy - Toulouse - 46 ans - 21 janvier 2008

Cette sorte d'autobiographie, qui est en effet un hommage aux chats de sa vie, est plaisante, souvent émouvante, mais rarement passionnante. Ce livre passe pourtant du léger au grave, mais reste tout de même un peu en surface, et ne répond que partiellement à la question "pourquoi ?". J'aurais bien aimé qu'elle analyse davantage son attrait pour eux et la comparaison, toutes choses égales par ailleurs, avec ses relations humaines.

Le Voile noir est évidemment beaucoup plus fort, La Soirée plus fouillée psychologiquement.

Veneziano - Paris - 47 ans - 19 avril 2007

Je connaissais déjà Anny Duperey. j'allais donc prendre ce livre tout en sachant que son style me plaisait bien, de plus j'aime, j'adore les chats... Plusieurs fois au cours de ma lecture je me suis retrouvée dans les mêmes situations qu'elle, le chat sur la feuille.... jouant avec votre plume. Elle m'a donné envie d'écrire à travers ce roman. A lire

Angelnix - - 53 ans - 2 mars 2005

Qu'ils sont beaux, ces chats de hasard ! J'ai envie de les défendre bec et ... griffes ! Autant j'avais peu aimé le roman d'Anny Duperey "Le nez de Mazarin", autant ces chats m'ont réconciliée avec elle. A travers son amour pour eux, c'est sa profonde sensibilité qui transparaît. C'est un grand merci à ces compagnons qu'ont aimés tant d'écrivains, de Victor Hugo à Malraux ou de peintres, comme Ingres et Delacroix. Je suis d'acccord avec Féline, pour dire cependant que la corde sensible est un peu trop sollicitée lors de la mort de ses chats. Mais l'amour de ces petits quadrupèdes entraîne parfois à dépasser les limites de la raison !

Renardeau - Louvain-la-Neuve - 66 ans - 13 septembre 2002

... comme Jules, j'ai préféré son premier livre "Le voile noir" . Ce récit de sa propre histoire était poignant de vérité. L'écriture de ce livre a été pour elle une façon de "déchirer" ce voile qui cachait la réalité du "trou noir" de ses premières années. "Je vous écris", je ne le qualifie pas de livre, mais un peu comme des réponses au courrier reçu.
"Les chats de hasard" , je crois, a été pour elle une petite récréation car elle adore écrire. Ce petit livre se laisse lire, tout simplement, pour la détente.

Gilou - Belgique - 76 ans - 10 septembre 2002

... mais j'ai, de loin, préféré son premier livre "Le voile noir" qui traite de la disparition de ses parents et de la façon dont elle l'a ressentie.

Jules - Bruxelles - 80 ans - 10 juillet 2002

Anny Duperey adore les chats, moi aussi (qui l'eut cru en voyant mon pseudo). Elle décrit merveilleusement l'amour qu'elle leur porte et les milles petits bonheurs qu'ils leur procureà elle et sa famille. Les 3/4 du livres sont magnifiques, un ode à ces petits félins. Mais on pourrait reprocher à Mme Duperey d'avoir un peu trop joué avec la corde sensible de ses lecteurs, tant l'agonie, la mort et les enterrements de ses petits compagnons sont décrits avec moult détails larmoyant. J'avoue avoir eu du mal à terminer le livre tant mes yeux étaient baignés de larmes.

Féline - Binche - 46 ans - 9 juillet 2002