Les petits poèmes roses pour le troisième millénaire et les aphorismes pour la banlieue
de Habib Osmani

critiqué par M art beur, le 5 février 2006
( - 61 ans)


La note:  étoiles
Un titre demeuré inconnu malgré la flambée des banlieues!!!
Le langage poétique en oubliant qu'il est langage devient un forme sonore qui s'entend pour dire que les naufragés de l'histoire coloniale et immigrée ont bu la tasse dans ces espaces que le appelle cités, ici associés à fléau, déterminime, rouage, engrenage, mais celui qui lit ces aphorismes est lui même celui qui s'en sort, qui va s'en sortir...
Car la poésie est bien ici le domaine de la parole, de la parole en action, elle se déroule comme sous la forme d'un récit initiatique... et un titre comme un témoignage dans une réalité brutale dîte et vécue mais belle pas comme la vie de ceux qui viennent de brûler la banlieue... ... ....