Sexe, mensonges et quiproquos
de Tyne O'Connell

critiqué par Doudou, le 10 juin 2001
(Rennes - 41 ans)


La note:  étoiles
Un vent de fraicheur
Evelyn se retrouve du jour au lendemain colocataires de deux lesbiennes en manque d'enfant, sous les ordres d'une "Borgia Lucrèce", célibataire pour avoir plaqué l'homme de sa vie et amoureuse d'un homme qui n'est pas celui qu'elle croit !
Petits chapitres, succession d'actions, personnages insolites, ce premier roman de Tyne O'Connell nous transporte dans l'univers déjanté d'une jeune avocate londonninne tout fraiche sortie de l'université.
Ce roman est une éloge des amies, des vraies, et une diatribe contre les anti-copines et les hommes (diatribe gentille malgré tout !...)
Il est vrai qu'on y perd un peu son latin, entre tous les personnages qui gravitent autour d'elle, mais ce roman est pétillant et frais, comme une coupe de "Veuve-Cliquot" !
A lire de tout urgence sur la plage ou bien au fond de son lit, à vous de choisir !