Astérix le gaulois (Une aventure d'), tome 10 : Astérix légionnaire
de René Goscinny (Scénario), Albert Uderzo (Dessin)

critiqué par Jules, le 18 décembre 2005
(Bruxelles - 80 ans)


La note:  étoiles
J'aime bien...
Oui, j'aime beaucoup cette BD, car, comme les autres, elle nous donne de nombreux aspects de ce qu'était Rome, son armée, son organisation, ses forces et ses faiblesses.

Obélix tombe raide amoureux de la merveille de jeune femme qu'est Falbala (le genre "canon" !) Mais il déchantera vite quand il apprendra qu'elle a un amoureux du nom de Tragicomix. Celui-ci a été recruté dans les légions romaines et on ne sait quand il reviendra.

Qu'à cela ne tienne, nos deux héros vont aller s'engager afin de le retrouver et de le ramener à Folbala.

Ce qui est hilarant dans cette BD c'est de voir le bordel qu'ils vont semer dans l'organisation des légions. Ce qui est aussi intéressant et hilarant c'est de voir les problèmes linguistiques des romains qui engageaint des légionnaires de toutes nationalités. Le rôle des traducteurs n'étaient vraiment pas évident !...

Un bon album ! Comme seul Gosciny pouvait nous en écrire. Uderzo est un excellent dessinateur, mais depuis qu'il fait les scenarii, nous pouvons oublier !...
Astérix Légionnaire 8 étoiles

Ce que j'ai aimé de cette BD, c'est l'entraînement des légionnaires. Astérix et Obélix foutent tout un bordel à en faire pleurer leur centurion. Plus je lis les Astérix, plus j'adore la présence des pirates et de la destruction de leur bateau. Un bon album d'Astérix.

Exarkun1979 - Montréal - 45 ans - 31 août 2011


Hilarant 9 étoiles

C'est un des premiers Astérix que j'ai lu et c'est l'un de mes préférés. René atteint dans cette bd un niveau d'humour exceptionnel. Il est difficile de se retenir de rire face à l'incompréhension de l'égyptien, à l'abus d'utilisation du traducteur, à la malchance des pirates et au désespoir des centurions Hotelterminus et Belinconnus, chargés d'instruire de lamentables légionnaires parmi lesquels figurent Astérix et Obélix.

Marcel11 - Paris - 26 ans - 27 août 2011


Une séquence géniale 8 étoiles

La géniale séquence de formation militaire vaut à elle seule la lecture de ce tome ! Tous les personnages (traducteur, gaulois, wisigoths, breton et surtout l'égyptien) s'y mettent pour faire tourner en bourrique leurs instructeurs et même Jules César, et ce pour notre plus grand plaisir.

C'est aussi dans ce volume que l'on découvre la belle Falbala, ce qui entraîne de bien curieux changements dans le comportement d'Obélix.

Encore un tome réussi !

Ngc111 - - 38 ans - 7 février 2011


Le meilleur Astérix 10 étoiles

Cette BD est pour moi la meilleure de la série. C'est simple, j'ai rigolé de bout en cout de ma lecture. Si on veut découvrir Astérix, c'est ce livre que je conseille. L'histoire n'est pas extraordinaire mais l'humour est excellent.

Oursblanc - - 29 ans - 21 janvier 2011


« Bon, mais faites vite, nous somme pressés. » 4 étoiles

Tragicomix, le fiancé de la belle Falbala, a été enrôlé de force dans l’armée romaine. Astérix et Obélix vont partir à sa recherche en s’engageant eux-mêmes dans l’armée, ce qui va en faire voir de toutes les couleurs aux romains (« ... eeet je n’en peux pluuuus ! »).

La deuxième lecture de cet épisode m’a laissé plutôt froide. Il y a quelques moments drôles, mais ce n’est pas un de mes préférés.

Nance - - - ans - 27 juin 2009


"Wrrstksft" comme dirait Obélix 8 étoiles

Obélix est amoureux et terriblement timide. A ce point c'en est touchant. Malheureusement, Falbala ne répond pas à ses sentiments. Obélix est jaloux mais reste digne. Il n'hésite pas à voler au secours du "bellâtre"de sa belle. Toujours secondé par son ami Astérix.

Cette fois, leurs pas vont les mener en Afrique. Ils auront le temps d'y revoir Jules (César), de changer le cours de quelques évènements, de rendre chèvre quelques romains avant que tout se termine par un banquet.

Un bon tome. Obélix sous le charme féminin (très peu présent dans les Astérix) et Idéfix chatouillé par son gène écologique sont adorables.

Babsid - La Varenne St Hilaire - 37 ans - 27 avril 2008


Bon cru 8 étoiles

Je poursuis ma tournée de chroniques des albums astérixiens avec ce 10ème tome. Rien à dire, il est très drôle. La vision de l'armée romaine est irrésistible. En revanche, je déteste le personnage de Tragicomix...

Bookivore - MENUCOURT - 42 ans - 15 avril 2008


L'amour est injuste ! 9 étoiles

Pauvre Obélix ! C'est la première fois où il tombe amoureux et la demoiselle s'apprête à convoler ! Pis encore, ou presque, par dévotion, il s'engage à lui ramener son fiancéenrôlé de force dans la légion romaine !
Les situations rocambolesques et les vaudevilles s'enchainent. Obélix est poilant quand il tombe amoureux. L'engagement dans la légion n'est pas triste, et leurs coreligionnaires valent le détour. Comme, par définition, ils sont tous de nationalité différente, un interprète s'y mêle, et c'est le début de la galère, dans les deux sens du terme. Ces pauvres Romains sont, de plus, accablés par la nullité crasse de leurs recrues et par le caractère des deux Gaulois.
Quand ledit fiancé est retrouvé, Astérix et Obélix quittent la légion, évidemment, et ramènent, comme convenu Tragicomix (nom qui convient très bien à cet album) à Falbala.
Cet opus est hilarant, et merci, Jules, de me l'avoir fait redécouvrir.
Après avoir fini la Valse aux adieux de Milan Kundera, voilà encore des histoires d'amour contrariés. Si Tragicomix est très reconnaissant envers Obélix d'avoir été libéré, ce dernier a de quoi l'avoir mauvaise : s'il a bien raison de tomber sous le charme de Falbala, bombe sexuelle blonde à jupe longue, son fiancé a lui aussi un physique d'acteur hollywoodien, blond aux yeux clairs, tout aussi bien foutu. Le pauvre Obélix - pour une fois - ne fait pas le poids. Ca me rend assez triste pour mon obèse préféré : c'est vrai, quoi ! C'est rageant, ces couples parfaits ! Quand à Astérix, bien qu'il se soit bien moqué de son meilleur ami, il ne fait pas mieux, quand Falbala lui fait la bise : il rougit tout autant. C'était bien la peine de jouer les insensibles.

Très bon.

Veneziano - Paris - 47 ans - 18 décembre 2005