critiqué par Déhellair, le 18 novembre 2005
( - 39 ans)

La note: étoiles

sa mere

Le narrateur Bataille dans l'abjection qu'il porte a son pere, désire se vouer a l'ecclésiatique, loin des vices, des débauches que son géniteur représente. Sa mere qu'il aime comme une sainte va a la mort du pere se dévoiler car elle ne peut souffrir ce manque de sincérite, de vérité dans les liens sacrés qu'elle noue au fils. Elle est en fait une femme qui aime le vice, la perversion, mais Bataille au lieu d'en paraitre choqué va plonger accompagner par sa maman dans les voluptés sexuelles. Ivresse et ripailles ne sont que pour mieux disposer les etres a s'éprendre. Bataille se couvre de vice et y prend progressivement du bonheur mélé a la jouissance. La honte émerge ca et la parfois dans une mer d'angoisse, et puis le vice atteint l'interdit et se produit l'inceste, la mere prend congé mais elle a pris soin auparavant de remettre dans les bras de son fils sa maitresse Hansi, amour se la sensualité, explosion des corps...
Enfin bon l'écriture ca colle au texte, longues phrases expression des sentiments, l'histoire, vraie? oui ca dérange mais bon le sulfureux ouais, et tout ca est encadré de sacré, de Dieu, enfin je n'ai pas bien aimé ce roman, meme si le texte est bon voire beau mais ouais non ca marque a vous de voir... Navré cédilles et accents pas le bon clavier

Vieux

J’ai lu ce livre après d’avoir vu le film de Christophe Honoré et j’ai préféré le film. J’ai trouvé le livre vieillot. Pour ce qui est de l’histoire... après avoir lu Frisk et compagnie, j’ai disons plus de difficulté à être scandaliser. Mais, si je n’aime pas le livre, c’est surtout parce que je ne peux pas, même pas vaguement, m’attacher aux personnages. Ils me laissent indifférent. L’écriture est correcte, mais ce n’est pas mon genre de livre.

Nance - - - ans - 18 mars 2008