A situation exceptionnelle, il faut bien une inauguration exceptionnelle. Or tout était exceptionnel, reprise du festival après une trêve pandémique, festival en mars (tient, Mars est bien le dieu de la guerre !), festival durant une guerre…
Il y eut donc ce que les dessinateurs savent le mieux faire, un concert de dessin.
Difficile de résumer un tel moment…Un pianiste franco-ukrainien et une douzaine de dessinateurs de plusieurs nations… Visiblement un leader, Alfred mais nous ne ferons pas l’erreur d’oublier tous les dessinateurs présents et ceux qui avaient envoyé leurs dessins…
Ce qui est certain, c’est que ce soir-là, il y eut bien des acteurs de la BD, des journalistes et des festivaliers qui pensèrent au peuple ukrainien… C’est peu par rapport à ce que cette population vit au quotidien et c’est quand même mieux que si cela n’avait pas été fait…
Comme quoi, on peut monter des actions avec célérité contrairement à ce que certains veulent nous faire croire parfois…