
Je ne me prononcerai pas sur le fond mais affirmerai avec pragmatisme, qu’importe le flacon pourvu que l’on ait l’ivresse, l’ivresse du récit, la magie des mots qui nous transportent et nous font rêver…
Interdire les récits écoutés ce serait comme vouloir interdire les contes racontés à la veillée, demander de se boucher les oreilles au moment où maman nous raconte une histoire et, surtout, faire comme si tout le monde pouvait lire, savait lire, avait des livres…
Pour moi, certains de ces grands récits sont en plus associés à de grandes voix, de grands acteurs et j’aime les écouter encore et encore…