Couvrir le Festival international de la bande dessinée d’Angoulême n’est pas une sinécure. Loin de là ! Ce n’est pas non plus triste et lassant, il ne faut pas exagérer !Cela demande, surtout, beaucoup d’attention, de concentration, de travail préalable, de motivation… De 10h à 20h, on est sur le pont en continu, on jongle avec l’emploi du temps, on est sur le qui-vive en permanence…Puis arrive le moment clef de la rencontre, de l’interview, de l’enregistrement… Là, plus le droit à l’erreur… Mais, pour une bonne interview, il faut un bon intervieweur et un bon interviewé !Voici quelques images de l’équipe d’étudiants au travail…