Plus qu’un jour à attendre… mais avec plein de travail !
Demain, ce sera l’inauguration du quarantième festival international de la bande dessinée d’Angoulême. Qui aurait pu penser que cet événement allait survivre aux différentes tensions, crises et problèmes financiers qui n’ont pas manqué sur sa route ? Même les créateurs n’auraient pas parié un franc – l’euro n’existait pas encore en ces temps éloignés – sur un tel succès !
Lorsque la ministre de la culture inaugurera l’exposition consacrée à Uderzo, son premier acte officiel dans une journée très chargée, nous aurons déjà commencé nos rencontres, nos interviews… Plus de quarante rencontres en quatre jours sont inscrites sur notre agenda, sans oublier quatre exposition, deux projections de films, trois conférences de presse… et un peu de sommeil la nuit, quand même !
Le premier jour, nous voyagerons au pays des contes avec une version de Cendrillon à faire rougir dans les chaumières, nous tenterons de comprendre pourquoi Disney est un personnage de l’art contemporain, nous plongerons dans les univers de Pascal Croci, de Pénélope Bagieu, de Vincent Wagner et nous terminerons dans le mystère avec une des versions des enquêtes d’Hercule Poirot en bandes dessinées…
D’ici-là, encore quelques visites à nos annonceurs et sponsors pour clore notre budget, ce qui n’est pas rien !